De retour chez soi. (Arielle)

Un bruit de sabot parcourait le chemin menant à une assez impressionnante demeure située près d’un bois assez peu ensoleillé, il n’était même pas accueillant du tout en opposition à l’habitation qu’il côtoyait jour et nuit, sous un soleil ou bien sous la pluie. Le manoir dans lequel vivait Cain n’en était mit que plus en valeur, un grand bâtiment qui avait une pointe d’Angleterre, normal après tout, le comte en était originaire et avait voulut garder une certaine nostalgie de son ancien pays. Dans la calèche se dirigeant vers le manoir à homme, Le comte Cain et une demoiselle mi-animal ayant pour seul habit la veste que lui avait donnée le jeune homme avant de monter dans le moyen de transport assez peu conventionnel au 21ème siècle.

-Bien nous voilas arriver à destination.

Les portes du grillage s’ouvrire à l’arrivé des chevaux, comme si elles avaient été aimantées, la grille laissa place à un somptueux jardin remplit de nombreuses fleurs parfois rares et presque uniques, des plantes croisées, deux roses rouges l’une plus foncé que l’autre, jamais dans un même paysage autant de plantes différentes n’avaient été rassemblées pour le plus grand bonheur des yeux, au milieu de cette végétation un ruisseau circulait sans résistance de la part de la terre qui s’écartait sur le passage de la petite rivière, on aurait dit un jardin à la Française, toujours bien taillé mais laissant à la nature quelques droits sur le territoire qu’elle voulait.

-Arielle, je te présente ta nouvelle demeure, bienvenue aux manoirs des Hargreaves.

Les cheveux c’étaient arrêtés, un homme vient ouvrir la porte de la calèche et y déposa un marche pied pour ne pas que le comte et la demoiselle ne doivent sauter comme n’importe qu’elle personne. Cain descendit le premier et une fois au sol tendit alors sa main vers la demoiselle espèrent ainsi qu’elle veuille bien de son aide pour descendre du carrosse comme une princesse juste devant son palais. Lui serait dès lors une sorte de prince bien qu’il ne voyait pas vraiment la différence en un prince et un comte dans la situation actuelle.

-Si tu veux bien t’en donner la peine Arielle, les chevaux on l’air d’avoir faim, je pense qu’ils aimeraient bien se reposer un peu.

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