Alors ce qui va suivre non ce n'est pas un roman oui c'est bien un poème il fait jsute 130 lignes XD écrit hier soir.Je sais il est long enfin a ce qu'on ma dit XD , mais je voudrait avoir votre opinion merci de me le laissez .
Je me suis fait prisonnier
Dans un monde imaginer
Sortant de mes pensées
Je veux supplié
Pour m'évadé
Car je ne peux plus respiré
Impossible est de parlé
De crié , de hurlé
De demandé, de chuchoté
J'essaye de me calmé
Et de resté
J'essaye de résisté
A cette éternité
Qui tente de me faire décoller
De mon planché
J'appelle la sécurité
Mais personnes ne semble m'écouté
Je suis tenté
A allé éré
Dans un monde tant imaginer
Et dont j'ai temps révé
Mais je voudriat surtout me réveillé
Et ne plus replongé
Dans un rêve émerveillé
Ou détesté
Moi qui ne veux plus sombré
Je ne pusi d'avantage
En essayant de regagné le rivage
J'essaye de pagaillé
Ou de nagé
Mais je ne parvint pas as remonté
Plusieurs fois j'ai échappé
Grâce à une bouée
De coulée
Pourquoi? ce qui veulent resté
Sont les premiers enlevé?
Et tiré?
Par d'effrayable maré
Qui tente de nous subrmergé
Alors que l'on nous a rien demandé
Nous nous disons
Que nous resisterons
Car nous le souhaitons
Mais y parviendront nous?
Sans rencontré de dangers?
Tout ce que nous voulons
Nous les personnes dérangé
Alors que nous n'avons rien clamé
C'est de respiré
Et d'être libéré
Ainsi que de ne plus suffoqué
D'arrété de faire des passages dans le temps
Et opter pour le présent
Rigolé, baillé , mangé
Ricaner, déconner, respiré
Poussé, tapper , déliré
Toutes ces raisons
Font m'obligé à resté
Mais pourtant rien ne veux me racordé
A un moindre évênement raté
Ou passioné
Je veux me libéré
De mes pensées
Mais je ne peux plus supporté
Et les vagues m'ont coulé
Maintenant je suis passé
De l'autre coté
Apres avoir échoué
Je ne pourrait plus me régalé
Ou même respiré
J'auraiut tant voulu résisté
Et ne pas me faire emmené
Par ces flots déchainé
Maius uen fosi cette porte dépassé
Plus moyen de rebroussé chemin
Mon passé sera a tout jamais oublié
Le désespoir ma emporté
A chaviré
Dans le noir
Remplis de brouillard
Je voulais resté
Parmis les libéré
Mais je me suis retrouvé
Enfermé et prisonnier
De l'autre coté
Je veux réssucité
Mais ce n'est plus une possibilité
Ce n'est qu'une fatalité
De ne plus popuvoirs respiré une bouffé
D'air oxygéné
Tant de personne ont demandé
a passé
Et moi qui n'ai rien demandé
J'ai été envoyé
Dans un monde sans pitié
Tu essaye de rigolé
De jouer de t'amusé
Maius tu ne peux y arrivé
Car tu en fait que pleuré
Je suis décédé
Et je ne fait que regretté
Le temps passé
Ou je n'ai profité
De vous embété
De vous faire rigolé
Je ne vous souhaite pas de dépassé
Cette porte enflammé
Car dès que vous la passeré
Vous seré calciné
Crucifier, et brûler
Alors que vous n'auriez
surement rien demandé
Et que ce n'était pas votre dernier
Veux prononcé ou souhaité
Mais maintenant nous vous voyons
Du haut de nôtre nouvelle maison
La où nous vous attendons
Jusqu'a ce que vous viendriez
Nous raconté
Comment vous êtes passé
De vivants dans bas
A trépas
L'auriez-vous demandé?
Souhaité?Proclamé?Priez?
Mais je vous dit ne soyez
Pas précé
De nous retrouvé
Nous pourrons vous le témoigné
Qu'une fois la porte dépassé
On ce fait chier.
Je croyait connaître
Ma famille
Mais j'ai compris
Que c'était le contraire
Mon esprit ère
Dans le malheur
Et dans mes pleurs
Je ne sais plus comment afire
Je me confi a une ami
Mais celà ne suffit
Je voudrait tant que tes crimes
Soit punis
Tu te la frime
Alors que tu es conscient de tes actes
Tu es de ma familles
Mais je te rennis
Je suis malheureux
Par ta faute
Je ne peux
Plus être heureux
Tu as souillé
Une famille soudée
Tu nous à fait défault
Tu ne pourra te racheté
Et j'espère t'oublié
Pour l'éternité
Tu ne peut crié
Tu aurait beau essayé
Tu ne sera écouté
Ce n'est pas que tu es détesté
Mais tu as été enfermé
Tu as peluré
Mais eprsonne ne peut t'aidé
Tu as donc arrété
De parlé
De hurler
De crié
De pleuré
tu n'as plus essayé
Toujours emprisonner
Tu n'arrive pas à t'évadé
Tu n'a même pas tenté
Tu tente d'oublié
Tout ce qui t'es arrivé
Mais tu ne peut plus supporté
Tu n'est pourtant pas très agé
Et tu as décidé
De te suicidé
Tu as été tenté
Et tu n'as pu résisté
Ton corp retrouvé
En train de laissé coulé
Ton sang
Jamais tu ne sera réssucité
Et tout le monde est entrain de pleuré
Mais toi tu vient de te libéré
Tu ne connait rien de la vie
Tu es petite
Mais déjà si triste
Celà un moment que plus
De sourire, de rire
Illumine ton visage
Qui aurait cru
Qu'après peu d'année écoulée
Tu soit déjà déprimée
Et personne ne peut y remédié
Tu préfère te renfermé
A la place de te confier
Pour que l'on puisse t'aidé
T'es idées vont vers la mort
Tu en as marre
et tu n'as pas tord
Tu as un dont
Qui te permet d'être différente
Et chiantes quand tu rie
Et que tu en a envie
Tu écrit des poème
Mais tu n'as ni sourire, ni rire
Tu es déchicté , et abandonné
Mais grâce a tes amie
Petite à petit
Tu reprend gouts
A la vie
Et l'amitié
Est tout pour toi
Je me balladait une nuit
Et une amie a toi m'a dit
"Fait gafe elle va arrivé"
Elle n'eu le temps de précisé que je savait de quoi elle parlait.
Je n'était pas inquiète , ni stupéfaite
Cette nuit-là , je ma'llongea dans mon lit
Ne dormant pas
Mon regard ce perdit
Sur le plafond bas
Pendant que je ta'ttendaitJe m'assoupi , et c'était la meilleure des solutions
Mon sommeil n'étant pas profond
Ton ombre sur mon visage bien sage
Me fit rouvrir les yeux
Tu m'a demandé si je savait ta venu
Je t'ai dit que l'on m'avait prévenu
Tu m'a dit que j'était courageux
et moi heureux de te voir
Moi qui pensait à toi tout les soirs
Ayant que du désespoir de ne pouvoir te voir
Tu était comme je t'imaginait
Tu souriai ce qui me faisiat rire
Je te refgardait de mes grand yeux avec un air malicieu
Et au milieu de nous
En se trouvait ta faux
Et à mes mots tu as dit
Que jamais tu n'avait autant sourie
Avant d'ôté une vie
Et je rie, moi une victime, qui n'avait pas eu tord
Car toi le sublime mort
Tu allait m'enlevé de mon envellope charnelle
Qui de toute manière n'était pas éternel
Ton regard était heureux
Tu était tout sauf malheureux
Une proie soffrant a toi
Moi qui te parlait
Toi qui m'écoutait
Je te racontait , que pour moi
La vie n'avait pas lieu d'être
Et que les soirs je disait
"Vient me cherché ma bien-aimé"
Tu ne comprenait pas
Mais je t'expliqua
Que la mort je l'attendait
Et que je n'avait aucun remort
Tu me trouva bien courageuse et heureuse
Pas le moindre peureuse comme les autres pleurnicheuses
Tu me demanda si j'avait une dernière prière
Je te dit que je voulait aller en enfer
Et que j'y croyait dur comme fer
Sourire aux lèvres , yeux grand ouvers
A aucun moment je n'ai cligné ou regrétté
D'un coup ta lame c'est abaissé et m'a tranché le cou
Et maintenant rien qu'en y reparlant
Ou en y repensant, je sourie
Et rie, et je me dit
Que maintenant étant esprit
Prisonnier des enfer
Je me dit que je préférait
Ma vie d'avant
Avec mes amis et ma famille