Nom : Merenz
Prénom : Savirnael
Âge : 22 ans
Date de naissance : 18 juin
Lieu de naissance :Londres, Angleterre
Groupe sanguin O négatif
Maître : Pour la situation
Situation :
Famille :Une sœur jumelle disparue depuis longtemps, de parents morts de chagrins…
Financière :Bonne
Profession :Duchesse, psychiatre
Lieu de résidence : Manoir
Description physique : Sa peau d’un blanc de neige contraste étonnament avec ses lèvres rouges et ses cheveux d’un noir d’un jais… Elle s’habille d’une façon si simple qu’elle fait son charme…. On ne se doute pas que sous cette apparence si frêle et féminine, une meurtrière se cache… Ses cheveux noirs retombent souvent de façon rebelle sur ses épaules et lui donne l’apparence d’une poupée de porcelaine…Elle est ce que l'on peut dire, un démon prit dans le corps d'un ange, un corps qu'elle n'aurait pas voulu avoir à partgaer avec un soeur... Fréquemment habillée en noir, elle adore surtout soortir le soir, sous sa bien-aimée lune, si belle, si près d'elle... Plusieurs colliers de perles ornent son cou, passant sur sa poitrine.... Ses yeux d'un bleu étincelant smble venir vous chercher jusque dans l'âme, froid dur et étrangement si chaud et doux à la fois..Autour de son cou, sur une délicate chaîne en or, brille la bague de fiançaille de sa soeur...Entre ses reins, un petit tatouage noir et rouge représente un petit diamant avec des roses qui se croisent ...
Lien d'une image du personnage [ Pas de voir signature/avatar ] :
Description du caractère : [ 5 lignes ]Malgré son étonnant patience, elle peut se montrer très violente lorsque sa limite est atteinte…. Malgré son apparence frêle et fragile, elle cache une véritable bête de sang en elle… Elle passe rapidement de l’innocence la plus totale à la colère froide… Étrangement, même si elle est psychiatre, elle semble étrangement atteinte de sociopathe, le meurtre de sa sœur ne lui important nullement tout comme le fait de rendre ses parents déments … Elle vous en parlerais comme l’on parle de la météo ou d’un achat quelconque…Un sourire, que ce soit sadique, ou joyeux orne en permanence ses lèvres d'un rouge intense.... Comme la lune, elle est imprévisible et semble en tout temps cacher une mystérieuse partie sombre, que nul ne connaît, jardin secret de la jeune femme... Elle regarde de haut les mi-humain masi semble parfois plus près d'eux qu'elle nA's jamais put l'e^tre avec sa famille malgé le franc dédain qu'elle a pour eux...
Histoire : [ 7 lignes ] Un manoir d’un blanc immaculé se dressait devant un gazon d’un vert éclatant, une splendide clôture blanche en fer forgé donnant sur l’immense domaine des Merenz, où des générations entières de cette famille avait naquit et laissé s’envoler leur dernier souffle, certains de façon tout à fait naturelle, d’autres contre leur gré…. De l’extérieur, on entendait les cris des deux benjamines, deux jumelles, l’une née lorsque la pleine lune était encore haute dans le ciel et la seconde à l’aurore, en même temps que les première notes des passereaux et des rossignols qui lançaient leur salut à l’astre solaire… Pour la jeune femme d’à peine 20 ans, l’accouchement avait été dur… Mais grâce aux technologies que ses moyens lui permettaient, toutes trois survécurent et bientôt la vie reprit sa place sur la douleur…
La première, qui était née lorsque la lune était dans son summum, seule et unique maitresse de la toile de velours couleur nuit, avait des cheveux de la même couleur que la toile sombre qui avait été suspendue au-dessus de sa naissance… La seconde cependant, celle qui s’était tant fait désirer, portait des cheveux d’une douce couleur de blé, tel le soleil qui avait annoncé sa naissance et qui s’était levé en même temps que son premier cri en ce monde… Ainsi, plusieurs personnes s’étaient même mises en tête que Madame la duchesse avait eu un quelconque amant et les doutes se tournèrent vers chacun des hommes qui avaient passés dans le manoir des Merenz.. Certains se mirent à suspecter le valet de stationnement, le jardinier qui semblait faire des yeux doux à la duchesse, un quelconque servant ou un invité…Mais bien rapidement, tous furent assurés qu’au moins une des deux jumelles était belle et bien de Monsieur Le Duc… La première, semblait aussi violente et dure envers les autres et elle-même… Malgré ses yeux brillants d’une intelligence semblant appartenir à tel ou tel ancêtre, la petite semblait d’une fine douceur raffinée comme sa sœur mais cette candeur semblait cacher une violence d’un autre monde…
Biensûr, comme dans plusieurs familles, l’une des deux enfants étaient préférée à l’autre et à cause de sa candeur se fut la seconde qui fut choisie comme favorite de madame la duchesse et m. le duc… Sa voix, lorsqu’elle chantait ressemblait à celle du rossignol, tout comme celle de sa jumelle… Ses doigts semblaient voler au-dessus du piano d’ébène familial l’une comme l’autre … Savirnael comme Mérédith étaient des virtuoses du chant et de la musique mais étrangement la seconde était clairement préférée à Savirnael… Dans son coin, la jeune brunette restait seule, battue par son père qui n’osait toucher la jeune fille trop parfaite qu’était Mérédith, le Duc se libérait de ses pulsions de violence sur Savirnael qui ressemblait pourtant trait pour trait à mérédith mis à part pour la couleur de cheveux et la voix de Mérédith qui était plus flutée… Était, car maintenant…..
Afin de prouver qu’elle pouvait être aussi merveilleuse et parfaite que sa sœur, Savirnael entreprit des études en psychiatrie, et malgré ses notes exellente, elle restait dans l’ombre de sa sœur, ses parents semblant la considérer comme ordinaire, banale…
Elle avait 20 ans… Ses cheveux devenus d’un blond platine brillaient autour de son visage où brillaient ses lunettes de soleil.. La piscine renvoyait des reflets verdoyants sur sa peau blanche…Mérédith vivait une vie d’héritère, de princesse… Son bikini blanc éclatant brillait sous le soleil… Savirnael, les cheveux d’un noir de jais, au visage si étrangement pareil que Mérédith, s’approcha d’elle dans un maillot rouge, ses cheveux légèrement ondulés… La plus jeune des deux sœurs regarda avec un air hautain son ainé montrant avec fierté sa main gauche où un diamant d’une taille impressionnante montée sur une bague en or fin… Elle s’était fiancée avec l’homme qu’aimait Savirnael… S’en fut trop pour elle….
Ce soir là, en catimini, Savirnael s’infiltra dans la chambre de sa sœur et à l’aide de chloroforme la plongea dans un sommeil lourd et profond…
Mérédith se réveilla dans la cave de la maison, très, voire trop bien isolée.. Savirnael, devant elle lui tournait le dos, ne lui montrant que ses cheveux noirs et son dos qui contrastait avec la robe de soleil qu’elle portait… sous le tissu, on distinguait les contours du maillot écarlate que la jeune femme avait porté durant la journée… Savirnael se retourna un couteau d’argent à la main, un gant blanc par-dessus sa main…
On retrouva le corps de Mérédith, les veines coupées, dans la piscine, sa bague sur son lit… L’enquête conclut à un suicide… Monsieur et Madame les duc et duchesse du manoir sombrèrent dans un douce folie, le joyau, le trésor de leur vie perdu, oubliant la présence Savirnael… Ses parents ne furent plus jamais les mêmes… Et pour cause… Savirnael avait prit un malin plaisir à se faire teindre d’un blond platine, comme mérédith, rendant ses parents presque fous de démence.. Le manoir revint à Savirnael, ses parent rapidement internés dans leur propre chambre, tell un cocon protecteur, entourés de milliers de photos de Mérédith, une seule étant de Savirnael…
Avec le temps, Savirnael retrouva sa couleur naturelle, un noir profond, mais ses parents demeurèrent dans leur chambre, allités, sombrant dans une démence de plus en plus profonde… puis, lasse de leurs cris de démence, elle partit dans un jet privé, vers l’île…
Code :
CorrectPrécision(s) ? :