Dans un autre monde...

Cassidy venait d'arriver il y a peu, mais elle constata assez rapidement que la vie a l'animalerie n'était pas vraiment plaisante loin de la. Déjà rien qu'as la tenue de l'animalerie une simple robe rosée, Cassidy n'aimait pas du tout cette robe. Elle regarda partout autour d'elle et ne vit que des visages de mi-humains triste... de si beaux visages sans sourire, Cassidy trouva sa terriblement triste. Elle compris que pour sortir de ce sinistre endroit il fallait en quelque sorte faire sa "belle" devant les humains qui passaient près de sa cage. D'ailleurs une cage qu'elle trouvait assez étroite elle n'avait pas du tout envie d'y rester très longtemps dans celle la.

Cassidy pensa longuement et a la fin se dit qu'elle ne fera que sourire normalement comme a son habitude et temps pis si sa ne plaisait pas aux humains. C'est donc se qu'elle fit regardant tout se qu'il se passait, quand un mi-humain partait et aussi quand il était refusé, rejeté. Elle se demandait si sa allé bientôt lui arriver et avait hâte de partir.

Quand quelques humains passaient devant sa cage et s'arrêtaient un moment. Cassidy ne pouvait s'empêcher d'afficher son plus grand sourire tout en plissant les yeux de plaisir puis de remuer sa queue se qui faisait sonner son grelot, mais tous passaient leurs chemins. Cassidy se sentais terriblement seule dans cette endroit froid. Elle commença a baisser les oreilles et a se mettre en boule, la tête bien contre ces jambes. Elle se dit "Je ne partirais jamais de cette endroit ? C'est sa... c'est sa mon destin ?". Puis elle se repris "Mais non ! Je ne me laisserais pas abattre ! Allez, un grand sourire et tout ira mieux !". Cassidy se redressa et se remis a sourire.

Maintenant, elle n'avait plus qu'a attendre le bon vouloir d'un humain ou d'une humaine. Elle attendra le temps qu'il faudra, avec son sourire et son grelot...

[Si tu ne veux pas que ce soit moi qui vienne te chercher, tu me le dis, j'enlève mon poste]

Ezechiel revint quelques jours plus tard à l’animalerie. Il avait reçu une prime par son employeur et pouvait se permettre de reprendre une de ces pauvres créatures. Il cherchait un Néko femelle, pour que sa première protégée ne se sente pas seule quand il n’est pas là.

Cette fois, il ne pleuvait pas. Le soleil brillait haut dans le ciel. Ezy avait décidé de passer tout de suite à la boutique, après le boulot. Au moment où il poussait la porte et que la clochette fixée au mur tinta, son ventre lâcha un grognement. Il avait faim, horriblement faim… Comme
toujours !

Il avança directement vers les caisses. Bien que le gérant ne l’ai que trop peu accueillit la première fois, Ezy gardait son optimisme. Il tendit la main pour serrer celle du vendeur.

« Bonjour ! »

Il s’y attendait : le vendeur ne répondit pas à sa poignée de main. Mais ce dernier sembla reconnaître la voix de notre jeune garçon, car il se leva tout de suite, jetant son journal sur la table. Ezy ne lui laissa pas le temps de parler, il sait sa main et la serra fortement.

« Je viens encore acheter un Néko ! »

Le gérant arracha sa main de celles d’Ezechiel en grommelant un juron. Ezy sourit et le suivit dans l’arrière-boutique. Encore une fois, lorsque le gérant alluma la lumière, les pauvres êtres se protégèrent les yeux. Encore une fois, il passa le bâton sur les barreaux pour les réveiller. Et
encore une fois, les pauvres se jetèrent sur les portes de leur cage pour être vu.

Ezechiel en reconnut certains qui étaient déjà là à sa première visite. Il les observa tous pendant quelques minutes.

« Vous êtes toujours aussi long à la détente ? »

Ezy le regarda, affichant un large sourire sur ses lèvres.

« Il y a un moyen de travailler à la boutique ? »

Le gérant parût étonné. Voyant qu’Ezechiel était sérieux et explosa de rire. Il toussa en avalant trop vite la fumée de son cigare. Il reprit son sérieux d’un coup et répondit de nouveau avec une amertume sans égale.

« Non… C’est une affaire de famille. On embauche pas
des gosses de l’extérieur. »

Ezy ne répondit rien. Il connaissait déjà la réponse à cette question et l’avait posée dans l’unique but que le vendeur lui laisse un peu de temps pour chercher son Néko. Il était très intéressé par une cage juste à sa droite. Il s’accroupit devant.

Cette fois-ci, contrairement à sa première Néko, elle souriait. Faiblement, et sans grands espoirs de sortir d’ici, mais elle souriait. La robe qu’elle portait lui donnait une mine affreuse. Il noya ses
yeux dans les siens. Il aurait pu rester longtemps comme cela, mais le gérant le sortit de ses songes avec un long soupir. Ezy se leva précipitamment, manquant de trébucher en arrière et de faire tomber les autres cages.

« Hum, désolé… Vraiment désolé. Je vais prendre
celui-là. »

Il pointa son doigt vers la cage où se tenait la Néko en robe rose. Comme la dernière fois, le gérant appela un homme et Ezy alla payer. Il attendit sa nouvelle protégée en observant de nouveau le collier étrangleur…

Une fois la lumière allumée, Cassidy cacha un peu ces yeux puis quand il furent habituer par la luminosité, elle regarda se qui se passait. Le gérant passa le bâton habituel sur les cage pour réveiller certain nekos, Cassidy ne comprenait pas trop les neko qui se jetait sur leur barrot pour voir se qu'il se passait, elle trouvait que la ou elle était elle voyait suffisamment bien. Cassidy vit que le client cette fois si était un jeune homme, elle le trouva beau, le gérant kui dit :

« Vous êtes toujours aussi long à la détente ? »

Le jeune homme le regarda et afficha un large sourire, Cassidy trouvait que c'était une drôle de manière de réagir lorsqu'une personne comme le gérant vous insulter un peu. Puis le jeune garçon lui demanda :

« Il y a un moyen de travailler à la boutique ? »


Le gérant parût étonné. Voyant que le jeune homme était sérieux et explosa de rire. Il toussa en avalant trop vite la fumée de son cigare. Il reprit son sérieux d’un coup et répondit de nouveau avec une amertume sans égale.

« Non… C’est une affaire de famille. On embauche pas des gosses de l’extérieur. »

Cassidy se demandait bien qu'elle genre de personne voudrait travailler pour un humain pareil. Le jeune homme ne dit rien, il commença a venir près de la cage a Cassidy, et s'accroupit devant. Cassidy rougisse un peu, gênée qu'il s'accroupisse pour mieux la voir s'en doute. Elle souriait comme a son habitude, quand elle remarqua qu'il plongeait ces yeux dans les sien Cassidy ne savait pu ou se mettre, elle devait sans doute être rouge comme une tomate. Le gérant soupira et le jeune homme se leva précipitamment, manquant de trébucher en arrière et de faire tomber les autres cages. Il lui dit :

« Hum, désolé… Vraiment désolé. Je vais prendre celui-là. »

Il pointa son doigt vers la cage où se tenait Cassidy. Comme la dernière fois, le gérant appela un homme, pendants que le jeune homme alla payer. Cassidy voyait l'homme arrivait et elle commença a s'inquiète quand elle vu le collier. Elle se laissa faire mais quand l'homme sera le collier, elle ne pus s'empêcher de tousser, en essayant de chercher de l'air. Une fois habituer, elle commença a essayer de le défaire un peu...mais n'y arrivant pas elle regarda le jeune homme avec des yeux de chat battu. Puis elle esquissa un petit sourire, contente que quelqu'un l'ai adopter tout se qu'elle espèrait c'est qu'il ne sois pas méchant....

Ezechiel n’avait pas attendu longtemps avant que le deuxième vendeur ne lui amène sa nouvelle Néko. Il lâcha précipitamment le collier qu’il observait, quand il vit qu’Elle en portait un. Ezy écarquilla les yeux : le collier Lui serrait le coup ! Il L’étranglait même !!

Ils sortirent ensemble dans la rue et marchèrent quelques mètres. Elle souriait, c’était le principal. Ezechiel tenait la laisse du bout des doigts. Il regardait constamment à droite et à gauche, concentré sur quelque chose. Soudain il bifurqua dans une ruelle très sombre, entraînant sa
protégée avec lui.

Arrivé au fond de celle-ci, il prit un chapeau et une longue veste de son sac. Il déposa délicatement, mais tout de même assez maladroitement, le chapeau sur la tête de sa Néko. Il La regarda, lui souriant, en Lui tendant la veste.

« Mets ça. Ensuite, tu passeras inaperçue. Personne ne t’embêtera, ni te dérangera et je pourrais enlever ton collier. »

Son sourire prit ses aises.

Une fois tout ceci finit, ils retournèrent dans la rue. Ils passèrent devant un vendeur de hot-dog.

« Tu as faim ?! Moi je meurs de faim ! »

Il se dirigea vers la petite boutique ambulante, ne prenant même pas la peine de demander à son Amie si Elle aimait ça. Il avait tout simplement oublié cela, trop distrait par le vacarme de son estomac. Il se retourna et fit signe à sa protégée de le rejoindre. Il avait toujours son grand sourire habituel. Il commanda deux sandwichs, paya et s’assit à une table. Il montra la place en face de lui à la Néko. Il attendit qu’Elle s’asseye pour mordre dans son hot-dog, en même temps qu’il Lui tendait le sien.

« Enfaite, je ne connais pas ton nom… C’est moi qui dois T’en donner un ou Tu gardes le tien ?! »

Il mâcha maladroitement son sandwich, attendant une réponse…